Ce ramadan, dans les magasins Carrefour et Casino, les gondoles de la maison d’édition d’obédience chiite al-Bouraq ont refait leur apparition. Malheureusement, Al-Bouraq fournit livres et gondoles sans exiger que les livres vendus soient vendus… comme des livres et non comme de vulgaires produits alimentaires.
C’est ainsi qu’en août dernier chez Géant Casino des livres islamiques se sont retrouvés entre le cochon et les oignons. S’il n’est pas possible que ces livres aient un traitement normal – bien lire « normal » et non « privilégié » – autant ne pas les mettre en vente.
Doriane, lectrice d’Al-Kanz, a contacté le service consommateurs de Carrefour. Voici la réponse.
Bonjour Madame et Chère Cliente,
Nous avons pris connaissance de votre courriel du 9 septembre 2012.
Votre avis est essentiel pour améliorer la qualité du service que nous vous devons. C’est pourquoi nous respectons votre point de vue et vous remercions de nous avoir contactés.
Malgré l’absence d’informations concernant le point de vente susceptible d’être concerné, nous vous assurons avoir adressé un message de vigilance à tous nos magasins.
Nous vous remercions de votre compréhension et vous prions d’agréer, Madame et chère cliente, l’expression de nos salutations distinguées.
Service Consommateurs Carrefour France
A très bientôt sur http://www.carrefour.fr
Sincères salutations,
N. O.,
Carrefour Service Clients
Par téléphone : 3235 (0,15 € TTC la minute depuis un poste fixe, sauf tarif en vigueur auprès de votre opérateur)
Par mail : carrefour-service-clients@carrefour.com
Trouvez rapidement les réponses à vos questions en consultant notre FAQ: http://www.carrefour.fr/faq/
Faire savoir son mécontentement, encourager les bonnes pratiques, etc. est fondamental. Il est impératif que chacun d’entre nous prenne conscience de la portée de ce type d’action. Nous pouvons vous assurer, croyez-nous sur parole, qu’un mail, un fax, un formulaire rempli à l’accueil de votre magasin, etc. ont un effet immédiat. Ces enseignes sont extrêmement attentives. Elles craignent tant le bad buzz qu’un seul message est pris très au sérieux. Un seul. Qu’il soit le vôtre.